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La Petite est Devenue Grande... [Fini]

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La Petite est Devenue Grande... [Fini] Empty La Petite est Devenue Grande... [Fini]

Message par Nataku Makuraka Mer 5 Juil - 13:48


Nataku MAKURAKA
”les idiots apprennent de l’expérience, les intelligents de l’Histoire”
H.C.M.  -  24 ans.


Infos

Pouvoir/Capacité/Aptitude/Arme : Aucun pouvoir / Capacité physique légèrement au-dessus de la moyenne, dû à un entrainement assidu / Courir vite et porter des poids relativement lourds / Une lance en argent d’environs 2m.
Langue parlée par votre personnage : Japonais, Anglais, quelques bribes de Coréen.
D'autres personnages t'appartiennent sur le forum ? : Pas pour le moment~
Comment as-tu découvert ce forum ? : Je suis de l’ancienne génération (plus ou moins o/) !
Un dernier mot ? : VKUSNO ! <3


Dans le Psychée…

On m’a qualifié de nombreuses choses durant mon existence. Mignonne, studieuse, intelligente, sérieuse, ronchonne, caractérielle, bizarre, extraterrestre, tordue, cinglée, flippante, je suis sûre qu’on m’a même traitée de tueuse psychopathe une ou deux fois, mais vous savez, les gosses… En vrai c’est simplement que je suis du genre solitaire, ce qui semble me donner un air mystérieux qui me valait tant de remarques…Et qui maintenant semble étrangement attirer certains hommes (tss, masochistes). J’ai peu d’amis, mais au moins les miens sont vrai, hah ! Si vous me connaissiez vous diriez que je suis trop directe, parfois amère et relativement désagréable, bah, je vais pas changer pour vos beaux yeux. Mais c’est vrai que j’ai quelques problèmes de gestion de ma colère, mais pour le moment j’ai d’autres chats à fouetter que de m’occuper de ça...


Il était une fois…

« Nataku, amenez-moi le dossier de X. »
« Tout de suite Monsieur. »

« Nataku, contactez Y et passez-le sur ma ligne. »
« Bien Monsieur. »

« Nataku, ce café ?! »
« Il arrive Monsieur… »

C’est tous les jours comme ça, depuis des mois. Vous devez penser que j’en suis déjà épuisée…Eh bien oui, mais même si je m’en plains à la machine à café (toute seule), je ne compte pas démissionner, pas pour le moment en tout cas.

Où je travaille ? Je ne suis peut-être pas sensée en parler, mais pour cette fois je ferais une exception. Help to Cure Monsters, abrégée en H.C.M., est le seul moyen qu’il me restait d’acomplir la mission que je m’étais donnée… Une mission qui date déjà de plusieurs années, plus exactement du jour où j’ai définitivement cessé d’être une jeune fille ordinaire.

Bon, en réalité, normale, je ne l’ai jamais vraiment été. Je ne me suis jamais beaucoup entendu avec les autres enfants de mon âge, je n’avais pas d’amis au collège ni au lycée, mais à part cela, il n’y avait rien de particulier dans ma vie ; une fille un peu bizarre dans un quotidien on ne peut plus banal. Mais ce jusqu’au jour où…


J’avais voulu me coucher tôt ce soir-là, je m’étais encore fait disputer par mes parents parce que j’avais d’horribles notes en Histoire-Géographie, et ça avait fini avec eux deux se prenant le bec sur comment ils n’assumaient pas leur rôle respectif. Gavée, je décidais donc de monter dans ma chambre me reposer, j’avais eu un test en sport et j’étais éreintée.

Confortablement allongée dans mon lit, la couverture remontée jusqu’à mon nez et ma tête bien enfouie dans mon oreiller, je branchais mes écouteurs pour m’endormir en musique, et lançais la lecture aléatoire. Je n’entendis pas la voix de ma mère, aussi brisée que le vase que mon père venait de faire tomber. Je sombrais calmement dans le sommeil, inconsciente de ce qui se passait à quelques mètres de moi.

Le lendemain matin, je ne fus pas surprise de trouver mon père endormi sur le canapé ; c’était comme ça à chaque fois, et comme à chaque fois, ma mère m’avait laissé un mot sur le réfrigérateur pour me dire de faire mon petit déjeuner toute seule, parce qu’elle était fatiguée et qu’elle voulait dormir jusqu’à pas d’heure. Bah, je n’y voyais pas de problème.

Les morceaux de ce qui fut notre vase gisaient encore près du buffet.

Préparant des céréales, j’allumais la radio pour écouter les informations, plus pour combler le silence que pour réellement être au courant de ce qui se passait en dehors de mon quotidien, et la musique que j’aimais écouter les réveillerait.

Rapidement je mangeai puis remontais dans ma chambre me préparer, lorsque je redescendis, prête à me rendre au lycée, je passais réveiller mon père pour qu’il aille travailler.

« Papa, réveille-toi sinon M. Shibuya va encore t’engueuler pour ton retard. » J’en profitais pour éteindre la radio, et fus quelque peu surprise de n’avoir aucune réponse. « Papa ? » Pas même un grognement. Fronçant les sourcils, je me rapprochais.

« Papa ? Sérieusement, debout ! Sinon on va être en retard tous les deux ! » Je jetais un œil à sa silhouette inerte sur le canapé et tentais de secouer son bras, toujours rien. Ce n’était vraiment pas normal. Je réessayais, plus fort, encore plus fort, et là je commençai à m’inquiéter. Je vérifiais son poult, il battait anormalement vite, pourtant il semblait profondément endormi et aucunement agité.

La panique me gagnant, j’appelais ma mère plusieurs fois, jsuqu’à entendre la porte de leur chambre en haut s’ouvrir. Bientôt, on appela les urgences. Ma mère me dit d’aller au lycée et de ne pas m’inquiéter, mais comment pourrais-je ? Pourtant j’obéis, ne voulant pas rajouter à ce problème, et quittai la maison, mes pensées dirigées vers mon père.


Plus tard dans la journée, j’appris qu’il était dans le coma, pour une raison inconnue.

Une raison inconnue, hein ? Ces fichus médecins ne pouvaient-ils pas creuser un peu plus, au lieu de nous laisser avec cette pseudo réponse ?

Je voulus mener mes propres recherches, mais je n’en trouvais pas le temps, entre les cours, les examens approchant et l’aide que je devais prodiguer à ma mère pour qu’elle puisse s’en sortir avec ses heures supplémentaires de travail.

Les jours devinrent des semaines, les semaines des mois. Cela faisait maintenant presque un an que mon père était à l’hopital, plongé entre la vie et la mort pour une sombre excuse. J’avais découvert des articles parlant de cas similaires, extrêmement rares mais existants tout de même, dont un qui parlait d’une jeune femme, une américaine, qui avait plongé dans le coma durant son sommeil et qui s’est réveillé des mois plus tard, totalement aliénée. Elle avait assassiné quelqu’un, certains témoignages parlaient de "possession"… Mais je doutais que cela soit en quelconque rapport avec mon père…Si ?

Je lui rendais visite souvent, on me disait qu’il pouvait m’entendre, pourquoi pas… Je lui racontais parfois mes journées, je lui parlais souvent de Maman, je lui répétait sans cesse à quel point il nous manquait, même ses disputes avec ma mère me manquaient… Je lui faisais passer les messages de ses collègues, qui nous rendaient visite de temps en temps, pour nous faire part de leur soutien. Je l’engueulais même une fois, un jour où j’étais particulièrement fatiguée et à bout de nerfs.

Une après-midi de week-end, alors que j’étais mollement allongée sur mon lit, trainant sur internet et un énième forum, j’entendis le téléphone sonner au rez-de-chaussée. Au bout de la troisième sonnerie, pensant que ma mère devait être occupée, je décidais de descendre répondre, mais à mi-chemin dans les escaliers je la vis prendre le combiné. Je m’apprêtais alors à remonter lorsque le ton hâté et un poil paniqué de ma mère m’indiqua sans erreur possible qu’il s’agissait d’un appel de l’hôpital.

Ce ne fut pas du soulagement que je vis sur le visage de ma mère, ni même de la douleur. Seulement…De la stupéfaction, et de la perplexité. Je sus que quelque chose s’était produit. Quelque chose d’inédit.

Mon père semblait s’être réveillé et avait quitté l’hôpital, sans prévenir personne, et sans que qui que ce soit ne le voit.

Sur mon écran d’ordinateur était toujours ouverte la page de ce fameux forum.


Ce fut bien peu tranquilles que ma mère et moi nous dîmes bonne nuit cette nuit-là. Nous n’avions pas reparlé de cet appel, seulement restées l’une avec l’autre, attablées à la cuisine devant un dîner auquel nous ne touchâmes pas. Nous étions chacune plongée dans nos pensées.

Je ne pus m’empêcher d’avoir le cœur serré lorsque je vis ma mère s’installer dans le canapé pour la nuit… Je compris qu’elle voulait l’entendre si quelqu’un frappait à la porte d’entrée durant la nuit. Je montais dans ma chambre,  éteignant rapidement mon ordinateur pour prendre sa place sur mon lit, affalée. Si je parvins à dormir ce ne fut pas plus d’une heure ou deux. Le reste du temps, je le passais à écouter distraitement ma musique qui, pour la première fois, n’eut pas le don de me détendre.

Je sursautais brusquement lorsuqu’un bruit me parvint pardessus le rythme appuyé du’ne de mes chansons préférées. Je stoppais rapidement la lecture et sautais hors de mon lit. Papa était-il rentré ? Un semblant de sourire se dessinait sur mes lèvres jusqu’à ce que j’entende un grand fracas dans le salon. Je quittais ma chambre pour me hâter de descendre, et une fois en bas, j’espérais n’avoir jamais rien entendu pardessus la musique…


Ma mère était à terre, contre le mur, toussant et saignant. La grande fenêtre du salon était entièrement brisée, laissant des éclats de verre parcemer le sol de toute la pièce. Mais surtout, la silhouette de mon père se dessinait dans la pénombre, seul son dos illuminé par les rayons de la lune. Ses bras étaient blessés, coupés de partout, et saignaient abondemment, pourtant il ne montrait aucun signe de douleur. Avait-il…explosé la fenêtre pour entrer ? Je faisais un pas en arrière, et bien qu’aucun son ne m’échappa, il se retourna vers moi.

Ses yeux étaient vides, ses yeux froncés, et son visage déformé dans une expression de pure furie. Ma gorge se bloqua et mon cœur rata un battement à cette vision. Je voulus m’enfuir, sortir, prévenir les voisins et appeler une ambulance pour ma mère, mais à peine fis-je volte-face vers la porte d’entrée que la table basse du salon vola vers moi, manquant de peu de percuter ma tête… Aurais-je survécu si cela avait été le cas ? Mes jambes bougèrent alors seules, me conduisant à la sortie dans un cri incontrôlé. J’ateignais la poignée de la porte alors que différents objets continuaient d’être jetés vers moi. Je réussis à ouvrir l’entrée et me jeter dehors lorsqu’un vase heurta violemment mon dos.

Ce même vase brisé cette fameuse nuit, que ma mère avait passé un temps fou à recoller au mieux.

Je tombais à terre dans un nouveau cri, tentant au plus vite de me mettre debout pour m’enfuir. Un grognement retentit derrière moi…Un grognement qui ne semblait pas humain.

Les voisins, M. et Mme Murata, alertés par tout le bruit, ouvrirent la porte pour voir ce qui se passait et je me réfugiais chez eux. Mme Murata me prit dans ses bras tandis que son mari allait chercher un de ses vieux fusils de chasse et ressortit. Trois coups de feu retentirent, un dernier grognement terrible puis le silence.

Je voulus ressortir, voir ce qui s’était produit, connaitre l’état de mon père et de ma mère, mais je restais là, dans les bras chaleureux de Mme Murata, et des larmes de stress, d’incrédulité et de peur coulèrent le long de mes joues.


L’ambulance et la police ne tardèrent pas. On emmena ma mère à l’hôpital en urgence, elle avait une hemorragie interne ; elle avait été violemment jetée contre le mur.
On m’interrogea rapidement, les policiers n’insistèrent pas en voyant mon expression encore choquée.

Un peu plus loin de vit un sac plastique être transporté dans une civière également. C’était mon père. M. Murata l’avait abattu de deux balles dans le torse et une en pleine tête. Je fus plus tard également transportée à l’hôpital pour des examens préventifs.

Je n’allais pas au lycée le lendemain. Ni le jour d’après.


Je restais quelques jours auprès de ma mère ; elle se remettait doucement mais sûrement, même si elle restait inconsciente. Puis j’arrêtais de me rendre à l’hôpital, j’arrêtais également mes visites chez la psychologue. J’étais une dernière fois interrogée par les enquêteurs avant que l’affaire ne soit classée, malgré les nombreuses zones d’ombre. Les différents crimes avaient été commis par mon père et M. Murata l’avait abattu en légitime défense, cela semblait satisfaisant pour la Police… De mon côté, je ne tentais pas tout de suite d’en savoir plus. A quoi bon ? Mon père était mort, continuer de creuser ne servirait strictement à rien.

Pourtant, quelques jours plus tard, poussée par la curiosité qui me tiraillait le ventre et, une boule désagreéable au fond de la gorge, j’entreprenais des recherches sur le net. Après plusieurs pistes infructueuses, j’arrivais à un forum.

Ce même forum que je consultais le jour où toute cette folie s’était déroulée.

Je lisais alors les réponses aux différents sujets d’un nouvel œil, plus fatigué mais moins jugeur, et soudain la lumière commençait à se faire dans mon esprit.

Ce n’était peut-être pas le site le plus sûr d’Internet, ni le plus fiable, mais il m’avait donné une piste. Une piste qui valait le coup d’être creusée.

J’entamais alors mes recherches dans un tout autre domaine, un domaine bien plus obscur… Les informations plausibles étaient infimes, noyées dans le flot de débilités, d’inventions et de théories du complot. Mais cette fois, je savais précisément ce que je cherchais.

Une créature, un esprit ou quoi que ce soit qui s’attaque à l’homme durant son sommeil et qui affecte notablement son comportement au réveil. Je retombais d’ailleurs sur cet article parlant de la femme prise d’une folie meurtrière à son réveil, et remarquais avec un frisson les similitudes avec le cas de mon père qui maintenant me semblaient claires. Je voulus en savoir plus sur cette femme mais ne trouvais malheureusement rien de satisfaisant, mis-à-part peut-être quelque fervent chrétien criant au Démon.



Un démon… ? Et…

Et si c’était cela ?

Pourtant ça ne collait toujours pas, du moins à la définition que je m’en faisais. Mais savions-nous réellement ce que c’était ?

Les jours passèrent lentement, alors que le sujet hantait encore mon esprit. Je ne me souviens pas bien de ce que j’ai fais durant cette période, concentrée sur tout autre chose. Déambulant seule dans ce qui fut un jour notre maison à tous les trois, je n’étais qu’à moitié en vie.

Je continuais de trainer sur la toile, en espérant tomber sur quoi que ce soit, mais rien. Toujours les mêmes préadolescents phantasmant sur des créatures bizarres qui remperaient dans l’ombre en attendant qu’une âme crétine tombe dans son piège.

Oh, mais j’y croyais aussi, à ces choses-là. Après tout, si les Démons peuvent posséder, ou du moins rendre fous les humains durant leur sommeil, pourquoi ces créatures n’existeraient pas, elles aussi ?

Pendant un temps, je cru devenir folle.

Je reçus un choc, pourtant, le jour où l’hôpital m’appela pour m’annoncer que ma mère s’était réveillée. J’accourais à son chevet, prendre de ses nouvelles. Mais seul un regard déterminé m’accueilla.

« Nataku. »

Je ne répondis pas, et me contentais de déglutir d’anticipation. Orsqu’elle m’appelait comme ça, c’est qu’il s’agissait de quelque chose de sérieux. Allait-elle me sermoner pour ma perte de poids ? Pour mon teint encore plus pâle que d’habitude ? Du fait que je n’avais pas remis un pied au lycée depuis ce jour-là ?

« Ne venge pas ton père. »

Je ne compris pas ce qu’elle me dit, sur le moment. Je lui jetais un regard hagard, perdu, encore plus qu’il ne l’était ces derniers temps. Elle soupira.

« Ne cherche pas à venger ton père de cette créature, quelle qu’elle soit. »

Je me figeais. Comment… Comment savait-elle ? Je ne lui en avais jamais parlé, même pendant son sommeil !

« Je l’ai vu. Dans son regard, ce n’était pas Ryôma qui était en face de moi, qui m’a attaqué. C’est cette…Chose… » Je la vis se frotter le bras nerveusement, ses courts cheveux bruns masquant son visage baissé, je posais ma main sur son épaule pour la rassurer autant que je le pouvais. Ces souvenirs étaient aussi pénibles pour moi que pour elle…

« Ne venge pas ton père, Nataku, » répéta-t-elle, fixant à nouveau son regard dans le mien, « Mais n’arrête pas tes recherches. Trouve quelle est cette chose, et empêche-la de faire du mal à nouveau. Fais de même pour toutes ces autres choses cachées dans les ténèbres, je les sens, je sais qu’elles sont là… Ne sois pas aveuglée par la haine, Nataku, cherche, cherche à comprendre, et aide. Si tu peux aider, fais-le, sans hésitation. Tu m’entends ma fille ? Fais-le pour que ton père soit fier de toi… »

Elle passa une main froide et tramblante sur ma joue, me donnant ces ultimes consignes. Je hochais la tête lentement, puis énergiquement.

Je passais encore un moment avec elle, m’assurant qu’elle allait bien, puis quittais sa chambre.

Je ne reverrais plus jamais cette chambre, ni cet hôpital…

Parce qu’à la sortie, je vis deux hommes m’attendre.


Ce fut à ce moment-là que la H.C.M. m’engagea, après plusieurs tests pour vérifier mes aptitudes ; notemment à garder un secret. Je suivais aussi un entrainement physique, histoire que je puisse me défendre en cas d’urgence.

J’aurais pu aller sur le terrain, j’aurais aimé le faire, mais les mots de ma mère tournaient en boucle dans ma tête, ils tournaient en boucle depuis qu’elle me les avait dit, sans jamais s’arrêter, durant toutes ces années. Alors je décidais de rester au bureau, m’occuper de la "paperasse", le Chef semblait m’avoir pris en sympathie (ou avait apprécié me taquiner, ce bougre) et je devins ainsi sa secrétaire.

Ou sa femme à tout faire, vu ce qu’il me demande.

Mon travail ? M’occuper de tout ce que mon patron n’a pas le temps de faire. En gros, beaucoup de choses… mais je me suis permise de vous dire tout cela parce qu’il s’agit de mon histoire personnelle, mais mon contrat (et mon attachement à la vie) m’empêchent de vous en dire plus sur ce que je fais dans cette organisation. Circulez, y a plus rien à voir ! Il est temps que je me remette au boulot de toute façon.

« Nataku, vous dormez ou quoi ? Ce café ! »

« …Pardon Monsieur, il a refroidi. Je vous le réchauffe de suite. »

Qu’est-ce que je disais, le boulot…

© Joy
Nataku Makuraka
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Message par Yumekui Kuro Baku Mer 12 Juil - 12:28

Bonjour et bienvenue à toi jeune fille. Ton passé est douloureux et emplie de mystère, j'aime beaucoup. Peut être qu'un jour nous nous rencontrerons, en tout cas pour le moment, laisse-moi simplement te dire, que tu es la bienvenue dans ce monde de fou.
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